
GRAND MOMENT DE PARTAGE en cet été 2023 ! 51 participants (alors que le Sold-Out était prévu à… 30), des visages connus mais de nombreux inconnu(e)s aussi. Chouette reportage TL souvenir (2’40 ») : https://www.notele.be/it34-media137147–les-soeurs-noires-une-balade-litteraire-qui-mele-fiction-et-realite.html
Album-souvenirs, avec des photos de Caroline Jesson, Carole André, Joëlle Béké et Gisèle Remy-Wilkin :



















Pour conclure 2022 en fanfare…
Le Top 2022 de Michel Torrekens
Le Carnet et les Instants revisite l’année littéraire 2022 avec le Top 3 de ses chroniqueurs et chroniqueuses. La sélection de Michel Torrekens.
- Dominique CELIS, Ainsi pleurent nos hommes, Philippe Rey
- Michel LAMBERT, Le ciel me regardait, Le beau jardin
- Philippe REMY-WILKIN, Les sœurs noires, Weyrich
Sur le site de l’éditeur…
https://www.weyrich-edition.be/produit/soeurs-noires-les : présentation du livre et de l’auteur, extraits, commande en ligne, etc.


Une présentation élargie
« Région tournaisienne, de nos jours. Dans un château, une jeune captive tente d’échapper à de mystérieux tortionnaires mais se heurte aux perversions sadiques de la torture par l’espérance. Peu après, un écrivain installé à Bruxelles, Raphaël, lors d’un salon du livre local, se voit solliciter par Cathy, un amour d’adolescence, une directrice d’athénée qui a perdu son élève préférée, Siham, une jeune fille d’origine marocaine particulièrement méritante. L’auteur de romans policiers n’a-t-il pas développé une expertise qui lui permettrait de reprendre une enquête rapidement conclue par la police picarde, qui réduit la disparue à une candidate au Djihad ayant quitté le territoire belge ?
Deux récits vont alterner, les investigations de l’écrivain auprès des proches de Siham, des flashes-back confrontant celle-ci à ses secrets, ses étranges connexions, des menaces et des suspects. L’enquêteur, au détour des aventures, scrute son passé et sa région d’origine, nous faisant découvrir les trésors d’un Tournai méconnu. La disparue, vouée à l’avenir, n’avait de cesse, elle, de se mettre en danger.
Derrière une intrigue policière gouleyante, ses indices et ses fausses pistes, ses rebondissements et son rythme haletant, des thématiques plus graves s’insinuent : l’émancipation féminine et les forces réactionnaires à l’œuvre dans l’ombre, la responsabilité citoyenne, l’immigration et ses diverses facettes, etc.
Mais qui sont les énigmatiques Sœurs noires au cœur du drame ? Qui sont ces Incels dont l’idéologie, venue d’Amérique, réduit les femmes à un ennemi à abattre ? »
Sorties du livre
Samedi 6 avril 2024, entre 11h et 12h45, sur le stand des éditions WEYRICH, dans le cadre de la Foire du livre de Bruxelles (site de Tour et Taxus).
Dimanche 4 février 2024, dès 16h30, dans le cadre du salon TOURNAI LA PAGE, rencontre et échanges questions/réponses avec des élèves de l’athénée Bara, qui ont analysé le roman chapitre par chapitre avec leur professeur Véronique Valembois, que je remercie. Souvenirs :

Samedi 25 novembre, entre 16h30 et 18h30, séance de dédicaces à la librairie labellisée LA PROCURE, à Tournai. Invitation reçue dans le cadre de l’opération LISEZ-VOUS LE BELGE ?, qui s’étend durant le mois de novembre.

Samedi 11 novembre 2023, à 14h15, à la Chapelle des Capucins, rue A. Masquelier 15, participation au festival NUIT BLANCHE DU NOIR et, plus précisément, à un débat sur le thème « Triangle noir » (Mons, Tournai, Bruxelles noirs).

Dimanche 15 octobre 2023, de 15h à 17h, au merveilleux bar à bières Poechenellekelder, rue du Chêne n° 5 à 1000 BXL, à deux pas du Manneken Pis, CAFE DES AUTEURS avec Nathalie STALMANS et Kate MILLIE, d’autres auteurs des éditions Lamiroy.

Mercredi 20 septembre 2023, présentation du roman à l’AEB (150, chaussée de Wavre à 1050 BXL), vers 18h : Sylvie GODEFROID à la baguette ! Vidéo de la soirée via la châine Toutube de l’AEB : https://www.ecrivainsbelges.be/fr/fr-3/fr-5 Photo/souvenir de la soirée AEB (partagée par Arnaud DELCORTE via FB) :

Samedi 16 septembre 2023, à la librairie MOT PASSANT (avenue de Jette 300 à 1090 BXL), rencontre avec les lecteurs dès 13h en compagnie de quelques autres livres de la collection Plumes du Coq et en présence du directeur des éditions WEYRICH, Olivier Weyrich, et Nausicaa DEWEZ. Photo-souvenir prise par Geoffrey VAN HECKE :

Samedi 22 juillet 2023, une balade littéraire de 2h30 sera orchestrée sur les lieux de l’intrigue par le spécialiste du genre en FWB, Guy DELHASSE, dans le cadre de ses LITTERANTES. Voir affiche plus haut.
(ci-dessous, je classe dans l’ordre chronologioque)
Samedi 10 décembre 22, de 10h30 à 12h, baptème du livre à Tournai chez CHANTELIVRE ! Présentation et questions par Catherine VANMANSART, lectures d’Alexandra CAUFRIEZ. Librairie 10 Quai Notre-Dame cf http://www.chantelivre.be/
Ci-dessous des images du jour, chez Chantelivre mais au Corto Malté et chez Quenoy aussi, autant de décors de chapitres du roman.








Samedi 11 février 2023, présentation entre 11h30 et 12h30, à TOURNAI-LA-PAGE, lors d’un Café littéraire partagé avec Nathalie STALMANS : mise en perspective, questions de nos deux romans, lectures d’extraits par Marie-Clotilde ROOSE (Cercle de la Rotonde), dans le cadre du salon littéraire déplacé au Théâtre de l’Institut Saint-Luc à Ramegnies-Chin (la Halle aux Draps de Tournai étant en travaux). Voir https://lesamisdetournai.be/tournai-la-page—2023.html et https://www.lecercledelarotonde.be/ Mosaïque de photos souvenirs prises par mon épouse Gisèle, Carole André, Marie-Clotilde Roose et Daniel Chaneux :






















Dimanche 12 mars 2023, 11h-13h, participation au festival Let’s art in Brussels qui aura lieu du 6 au 26 mars, situé au Mont de Piété à Bruxelles, dans le quartier des Marolles, invité par Gaëtan FAUCER : https://www.montdepiete.be/calendrier-ventes-expos. Quelques photos, avec Gaëtan FAUCER (co-organisateur) ou Nathalie STALMANS (autrice) :



Dimanche 2 avril, 15h-16, dédicaces à la Foire du Livre de Bruxelles, stand WEYRICH.

PS Souvenirs de la Foire du Livre de Bruxelles 2023 (inauguration le mercredi et dédicaces le dimanche), sur les stands WEYRICH et FWB, avec Nausicaa DEWEZ (boss du Carnet), Françoise et Jean-Pierre LEGRAND (la moitié du binôme LEGRAND/REMY-WILKIN qui oeuvre à travers divers feuilletons sur la littérature et la musique) : à suivre !


Le livre en librairie
Le livre se trouve chez CHANTELIVRE et LA PROCURE (Tournai), LA LICORNE (Uccle), TROPISMES et FILIGRANE (Bruxelles), MOT PASSANT (Jette), PAPYRUS (Namur), etc. Et jusque dans de petites librairies de villages (merci à elles !) comme celle de Sainte-Marie-sur-Semois. Il peut être commandé chez CANDIDE (Ixelles), CLUB et FNAC, BLEUS D’ENCRE (Uccle) ou LE RAT CONTEUR (Woluwé Saint-Lambert), etc. Ci-dessous il apparaît début décembre chez Papyrus au côté des livres amis de Michel Torrekens et Francis Groff, chez Tropismes au côté des best-sellers anlgo-saxons (John Le Carré) ou français (Musso, Marc Lévy) et chez Chantelivre au côté d’autres livres du même auteur.



… et en bibliothèque…
Notamment à Neufchâteau, où Olivier Weyrich a croisé une lectrice emportant le roman.

ON EN PARLE…
Francine CHARLES (critique dans Culturius), dans un mail pré-interview, en mai 2024 : « J’ai adoré le roman Les soeurs noires, et en le lisant, j’ai vraiment compris pourquoi il était dans la catégorie « littérature » et non dans la collection Noir corbeau, chez Weyrich. Le style est très recherché, élégant, soigné, vous êtes un très grand érudit. J’ai fait quelques recherches, car je ne voulais rien laisser au hasard, et j’ai découvert Juliette Armanet, que je ne connaissais pas du tout !!!! J’ai plein de questions sur l’écriture de ce roman, je voudrais accompagner ma « critique » d’une interview de vous, si c’était possible. J’aurais besoin d’une belle photo de vous aussi, pour accompagner la couverture du roman. En tout cas, moi qui voulais aller faire du tourisme à Tournai, je crois que je verrai la ville d’un tout autre œil. (…) Et toute mon admiration car je n’imaginais pas que ce livre me plairait A CE POINT ! »
Geneviève CLAEYS, sur sa page Facebook, livre une photo d’une partie de sa bibliothèque dévolue aux ouvrages WEYRICH… dont LES SOEURS NOIRES ! Et, sur la lancée, elle se fend de ce commentaire : « Excellent roman (…) je le lirai et le relirai encore et je DOIS le garder ! Je l’avais prêté à une amie de longue date, (…) elle l’a bien apprécié aussi. Du très beau travail d’écriture, du niveau de l’excellence ! »
Olivier PAPLEUX (auteur), 4 décembre 2023, via un MP Facebook : « Bonjour, Philippe. J’ai pris beaucoup de plaisir en compagnie de ton dernier roman, Les sœurs noires. Évidemment, ton idée originale de faire mener l’enquête par un écrivain m’a totalement séduit et je me suis identifié à ce héros passionné qui tombe sous le charme de celle qu’il tente de sauver. Très belle construction du récit que ces chapitres alternés et courts qui permettent une lecture rythmée, des pauses quand on le désire, et une tension permanente. C’est un bon polar au vocabulaire riche et précis comme je l’aime et des références littéraires ou musicales qui titillent toujours mon besoin vital d’en connaître plus. Merci pour cette découverte d’un Tournai inconnu, pour la défense essentielle de la condition féminine, pour les thèmes de l’islamisation et des réfugiés. Merci pour cette fin surprenante et pour Siham dont la beauté et l’intelligence captivent le lecteur. »
GUY DELHASSE, dans LITTERANTES, Mag n° 10, septembre/décembre 2023, évoque LSN dans son édito, comme un exemple idéal de mise en valeur d’une ville par un livre : « (…) Autrement écrit : une ville existe littérairement quand elle est recréée dans une fiction. Deux exemples pour le montrer. La Cité aux Cinq Clochers, Tournai, a été mise à l’honneur par la parution d’un roman qui explore ses recoins, son passé, ses personnages : Les Sœurs noires de Philippe Remy-Wilkin a permis de réunir un bon public (NDA : nous étions en effet plus de 50 !) en juillet dernier au bord de l’Escaut en compagnie de l’auteur. (…) »
APOLLINE (de la librairie La PROCURE/Tournai), accorde un Coup de coeur de la Procure au livre en novembre 23 : « Une intrigue prenante qui joue avec nos préjugés et nos nerfs, et surtout une balade dans Tournai au fil de l’enquête ! A lire par tous les Tournaisiens amateurs de polars ! »
Bernard CAPRASSE (auteur, ancien gouverneur de la province du Luxembourg), sur Facebook, 16/9/23 : « Philippe, ton roman Les soeurs noires est remarquable ! Très belle écriture. »
Adolphe NYSENHOLC (monument de nos Lettres et de notre culture, expert mondial ès Chaplin, etc.), dans 2 mails datés des 10 et 11 septembre 23. Extraits : « (…) Un texte fort et passionnant. (…) Votre livre, un Monument de Tournai. J’aime. »
Guy DELHASSE, revue REFLETS, juillet 23. Voir site de l’AREAW pour l’article complet. Extraits : « Tournai agit comme sa cathédrale… elle veille sur le temps, elle horloge ses rues, elle offre ses ponts sous son Escaut transparent. Le ton monte, le thriller se tend la peau… (…) La dernière page tournée, Tournai vous livre sa vérité : il doit faire bon s’y promener. »
Page FB de la bloggeuse littéraire Vanessa VSK (Chroniques d’Oscar Ness), 20 juin 2023 : » Quand tu te replonges dans le cycle italien de Vincent Engel et que tu adores toujours autant ; quand tu viens de terminer Les Sœurs noires de Philippe Remy-Wilkin et que tu adores ; quand tu reçois Onze Bruxelles de cet auteur également par la poste à l’instant, tu te dis : mais que la vie est belge ! »
Francis GROFF (auteur, journaliste), sur sa page FB, 19 juin 2023 : « A Tournai, dans l’ombre des Soeurs noires… Auteur prolixe et « multitalents » à qui on doit des exemples de tout ce qui se fait (ou presque) en matière de littérature, de BD et de critique littéraire, Philippe Remy-Wilkin aurait pu naître à Tournai si on en croit la tendresse qui se dégage de son dernier roman à l’endroit de la cité scaldéenne. Mais Les Sœurs noires est bien plus qu’une ode à la ville aux 5 clochers. Dans un style nerveux qui ne laisse pas de place à l’envie d’éteindre votre lampe de chevet si, comme moi, vous êtes un lecteur vespéral, l’auteur vous plonge sans ménagement dans une enquête menée par un écrivain (tiens, tiens) appelé au secours par une amie pour élucider une affaire d’enlèvement. La jeune et jolie Siham, élève prodige et d’origine maghrébine, a disparu de l’athénée que celle-ci dirige et les rumeurs les plus folles courent à son sujet. Avec, en toile de fond, la religion musulmane, sa pratique et les « questions d’honneur » génératrices de bien des drames. Avec un sadisme jubilatoire, Remy-Wilkin balade ses lecteurs dans les endroits les plus emblématiques de Tournai en cognant à chaque coin de rue, bousculant l’imagination du lecteur avant un crochet final tellement inattendu qu’il met son public KO. L’ouvrage a paru aux éditions Weyrich, dans la collection Plumes du coq. »
Blog littéraire, 10 juin 2023, Thierry-Marie DELAUNOIS (auteur et médiateur). Extraits : « Dans ce roman fort bien construit, très réussi, passé et présent s’y dévoilant en parallèle, par petites touches successives, Philippe Remy-Wilkin, au travers d’une plume vive et alerte, nous dépeint des personnalité sensibles, investies, qui questionnent et se questionnent, menant le lecteur dans les sillons de l’empathie et de la réflexion continue quant à l’attitude à adopter dans telle ou telle situation. (…) Les Soeurs noires, un roman teinté de mystère (…) à découvrir séance tenante notamment pour ses bouts d’histoires et d’Histoire captivants (…) Tournai également personnage à part entière dans cette oeuvre aux multiples facettes publiée aux éditions Weyrich. » Pour lire l’article complet : https://www.thierry-mariedelaunois.com/pages/accueil/lectures-de-l-auteur/categorie-de-lectures-ii/les-soeurs-noires-de-philippe-remy-wilkin-par-thierry-marie-delaunois.html
MATELE, 4 avril 2023, Claude DONNAY (auteur, éditeur, médiateur, chroniqueur TL) évoque le livre. Deux fois. Comme chroniqueur TL au micro de Nicolas DEBATTY, dans l’émission TOUTIM, et dans un long et très élogieux article publié par le site de la chaîne. Voir vidéo et article : https://www.matele.be/livres-les-soeurs-noires-un-thriller-belge Extraits : « Notre chroniqueur Claude Donnay a dévoré Les soeurs noires, un roman noir page-turner signé de l’auteur belge Philippe Remy-Wilkin. Une enquête sur une étrange disparition dans la ville de Tournai.(…) Philippe Remy-Wilkin est un auteur belge (Bruxelles), qui a pas loin de 20 titres à son actif dans des domaines très variés (…) Et on ne peut oublier son rôle essentiel de « passeur » (…) pour promouvoir ses pairs avec une générosité sans bornes, il chronique l’actualité littéraire belge pour le site « Les Belles Phrases » ou pour « le Carnet & les Instants », ou encore pour Radio Air Libre. Et plusieurs fois par an, il livre des dossiers particulièrement fouillés sur des auteurs, des courants littéraires ou cinématographiques. Ses « Ediphil » sont incontournables et attendus par bon nombre d’internautes. Aujourd’hui, c’est du romancier dont je veux vous parler (…) « Les Sœurs noires ». Il s’agit d’un roman noir, un thriller, qui a pour cadre la ville de Tournai. (…) Remy-Wilkin la décrit avec une minutie et un amour, qui ne peuvent qu’emporter le lecteur. (…) Remy-Wilkin nous raconte l’histoire de Siham, une jeune fille issue de l’immigration, et qui semble posséder pas mal de talents. (…) Mais un jour elle disparaît et la police semble convaincue qu’elle est partie pour le djihad en Syrie. Cathy, la directrice de l’Athénée, demande à Raphaël, ami et grand écrivain belge, d’enquêter sur cette disparition. Avec l’aide de trois amis tournaisiens, il se met à explorer toutes les pistes possibles. Et il y en a plusieurs. (…) L’imbroglio est total. Une pelote de laine que Raphaël va devoir dénouer fil à fil. Le lecteur n’est pas laissé une minute en repos. Le suspense est total. Un vrai polar, brûlant jusqu’à la dernière page. C’est là que réside le grand art de Philippe Remy-Wilkin. Parvenir à nous tenir en haleine tout en distillant des références culturelles belges au fil des pages. Car cet auteur est aussi un brillant érudit, au fait de tout ce qui fait de la Belgique cette terre de culture atypique. (…) La structure du roman est elle aussi d’une rare subtilité. Des chapitres qui relatent le déroulement de l’enquête et des chapitres qui évoquent ce qui s’est passé quelques jours ou semaines auparavant. C’est habile, le lecteur est emporté dans le tourbillon. (…) invité à réfléchir sur la Belgique et le monde d’aujourd’hui, à travers cette jeune femme désireuse de devenir une vraie citoyenne belge et une habitante à part entière du monde, et ce malgré ses origines familiales. (…) à chaque page, Philippe Remy-Wilkin dénonce les préjugés, les vexations, les idées toutes faites, dont se nourrissent les réseaux sociaux, par exemple. Pour lui, la Belgique est une terre d’expérience extraordinaire. Il aime cette vision d’une Belgique multicolore, multiculturelle. Les Sœurs noires est un vrai thriller, un polar à la Belge, plein de rebondissements (…) On ne s’ennuie pas une minute. Ce livre est à la fois un page-turner et un ouvrage qui porte à la rêverie profonde, celle où on s’arrête le doigt sur la page, pour réfléchir à la vie, à sa propre vision de la vie. Il est question de culture, de religion, d’identité, de migration, de féminisme et de respect de la femme, de la place de la liberté individuelle dans le monde de ce troisième millénaire. (…) Et que dire du style ! Flamboyant, truffé d’inventions, de références culturelles (…) Une langue parfaitement maîtrisée, une véritable écriture. Un livre que vous devez absolument lire. C’est du belge, c’est édité près de chez vous et c’est excellent !«
Patrick DEVAUX, le 3 avril 2023. Sur le site et dans la revue (numéro de juin) de l’AREAW (société des auteurs wallons). Voir l’article complet : https://www.areaw.be/les-soeurs-noires-philippe-remy-wilkin-roman-editions-weyrich-297-pages-2022/ Extraits : « Entre « quelques jours avant » et « quelques semaines avant », Philippe Remy-Wilkin nous intrigue avec un thriller menant un écrivain, féru de contextes historiques, dans les rues de Tournai évoquée avec des richesses culturelles insoupçonnées (…) Fil conducteur : « Les Sœurs Noires » : suggérée tout d’abord par un lieu-dit, la référence devient progressivement la clé d’un mystère à éclaircir (…) Le roman sert grandement de prétexte à évoquer l’émancipation féminine (…) Sans doute retrouve-t-on parfois Philippe lui-même, avec sa culture étendue (…) le style lui-même est particulier, l’auteur usant de dialogues avec des sortes de pointillés pensés laissant l’intrigue en attente dans la réflexion du lecteur : « – Oui, c’est cela, gronde l’écrivain enquêteur. Ça vous arrange. Siham se rebelle contre la tradition, la religion, ne dort plus chez vous, c’est embarrassant dans votre univers, au regard de la communauté. Alors, on fait comme si… » (…) l’auteur distille un humanisme habilement infusé dans cette écriture menée de main de maître avec une précision culturelle qu’on pourrait qualifier de chirurgicale. Pour un coup d’essai, le genre « thriller » se révèle bien affirmé avec, jusqu’au bout, l’intrigue et le questionnement (…) Affaire à suivre avec plaisir et à découvrir au fil des pages … ! »
LE CARNET, revue papier n° 215 (avril/juin 2023). Michel TORREKENS parle des Sœurs noires (20 lignes, avec un extrait), dont la lecture lui a suggéré l’idée d’un dossier (4 pages, avec interview de Catherine Vanmansart, qui traverse un chapitre), consacré à la belle librairie Chantelivre, fréquentée par mon héroïne. Voir l’article sur Calameo (pages 45-48, avec de belles photos) :https://www.calameo.com/read/0055230618f8e593d6bae
LE WOLVENDAEL MAGAZINE, numéro d’avril 2023. Dans la foulée d’un très bel article sur le roman (numéro précédent et site), la rédaction a inséré son auteur pami les créateurs qui comptent ou ont compté à Uccle. Ma vanité s’en accommode, et merci ! Voir la liste à la page 30 (avec Strebelle ou Wouters, Hergé ou Franquin, Jacques De Decker ou Jacqueline Harpman, etc.) : https://www.calameo.com/read/000487808d27e6301adaa
NUIT BLANCHE DU NOIR, le 31 mars 2023. Le festival montois, sur son site, livre son conseil lecture du vendredi soir : « Passez le week-end avec Les sœurs noires de Philippe Remy-Wilkin ! » Ensuite, C.D. (sans doute Christine Defouin, l’une des organisatrices), commente : « Quand Raphaël a accepté ce week-end de dédicaces dans la superbe Halle aux Draps de Tournai, sa ville natale, il n’imaginait pas qu’il allait revoir Cathy, sa première petite amie, et qu’elle allait l’embarquer dans une enquête destinée à retrouver une de ses plus brillantes et attachantes élèves, Siham, disparue depuis plusieurs jours. (…) au cours de ses investigations, l’écrivain va découvrir un visage bien différent de la ville qu’il a – probablement – fantasmée, et l’étonnante personnalité de Siham, une jeune fille engagée, très cultivée, en rupture avec son milieu et sa famille… (…).Voir l’article complet sur www.nbdn.blog (cliquer sur « articles précédents »). J’apprécie beaucoup qu’elle juge « l’écriture extrêmement travaillée et poétique » ou assimile le roman à un « ovni parmi les romans noirs mais une sorte de brillante pierre noire ».

Vanessa VESCHINSKI (bloggeuse littéraire de talent mais aussi professeur), le 14 avril 2023, annonce mettre le roman au programme de ses élèves, dans la série #jesuisprofdefrancais : « Cette semaine, pour mes élèves de l’option littéraire, commence la partie du cours que je préfère, entièrement consacrée à la littérature belge contemporaine. Cette année, aux traditionnels piliers (Vincent Engel, Armel Job, Amélie Nothomb, Thomas Gunzig, etc.) s’ajoutent des auteurs qui m’ont particulièrement plu : Sophie Wouters, Philippe Remy-Wilkin, Stéphane Lambert, Geneviève Damas, Kenan Görgün, Daniel Charneux, Alexandre Million, etc. Chaque année, je suis heureuse de voir mes élèves découvrir celles et ceux qui consacrent une partie de leur vie aux Lettres belges. J’avoue cependant qu’en tant que professeur de français en Belgique, je m’étonne parfois de voir si peu d’intérêt des programmes scolaires pour la littérature belge (la langue et la littérature, de manière générale aussi). Bien sûr, il existe des possibilités pour inviter des écrivains dans nos classes (ce que je ne ferai pas cette année) mais l’analyse des œuvres n’est pas envisagée dans les programmes ou de manière très superficielle à travers des « tâches de communication »… L’école n’est plus un « passeur de culture littéraire » belge ou non et les élèves passent à côté d’un essentiel. Ce parcours fait suite à la littérature francophone à travers le monde et à l’histoire de la langue française. Je crois que je suis amoureuse de notre jolie langue et de notre belle littérature. »
OBJECTIF PLUMES, le portail des littératures de Belgique, le 24 mars 2023, met le roman dans sa sélection des 3 romans noirs/policiers à lire absolument, au côté des livres d’Armel JOB et de Salvatore MINNI ! Voir : https://objectifplumes.us4.list-manage.com/track/click?u=d3ceee67d9f2cf39906280ab2&id=6f5faca04e&e=4142a87fda
BOUCHE A OREILLE, émission radio podcastée d’Angleterre, pour les francophones de GB, Aline BAVISTER et Elise LINES aux manettes, Pierre KONE à la chronique littéraire, 6 minutes très élogieuses à partir de la 14′ :
https://mix926.com/podcast/bouche-a-oreille-escale-litteraire-helvetico-belge/
Pierre KONE (chroniqueur littéraire), 23 mars, dans un mail : : « J’ai éprouvé un agréable plaisir à lire Les sœurs noires. »
KAROO (plateforme collective de formation à la critique), 31 janvier 2023. Un bel et long article d’Océane SLEGERS. Extraits : « Au fil de son dernier roman, Les Sœurs noires, Philippe Rémy-Wilkin transporte son lecteur dans les méandres d’une histoire criminelle aux détours de laquelle s’entrecroisent amitiés, cultures, religions (…) une enquête à la Hercule Poirot mêlant machination, machiavélisme et multiculturalisme. En cherchant à sauver une Siham forte, aimée et déchirée par son identité multiple, l’enquêteur amateur déterre des secrets de familles plus sombres les uns que les autres (…) une fiction criminelle aussi haletante que déstabilisante. (…) thriller de génie (…) la force de sa plume qui se veut authentique et aiguisée dans sa perception du monde moderne. (…) 292 pages d’enquête frénétique (…) un combat contre les idées reçues et les préjugés (…) Le lecteur, quelles que soient ses origines, ses croyances ou ses penchants culturels et/ou religieux, est embarqué par l’histoire de cette jeune héroïne (…)Balançant entre moments de haute littérature et rebondissements de haute voltige (…) dans la lignée de grands auteurs tels qu’Agatha Christie. Plein de vie et d’émotions fortes ainsi que de retournements de situations, l’ouvrage se révèle un roman policier de grande qualité. (…) une écriture aventureuse osant jouer avec les préjugés (…) les situations assez communes dans la littérature policière sont vite détournées pour devenir soit des péripéties palpitantes soit des contre-sens bouleversant les lecteurs dans leurs croyances les plus intimes. (…) Toute cette manipulation enthousiaste du lecteur est d’ailleurs mise en œuvre dans un style particulier (…) Oscillant entre moments poétiques et rationalité policière, la prose de Philippe Rémy-Wilkin se veut claire et nette, comme son opinion sur des sujets de sociétés tels que l’islamisme, le terrorisme, l’acculturation, la migration… Grâce à cette plume précise laissant de temps à autres échapper quelques volutes lyriques, c’est avec une grande douceur n’enlevant rien au suspense de la trame que l’écrivain s’ouvre et transporte le lecteur avec lui dans une réelle quête de la vérité. (…) Le lecteur est alors laissé, après une course contre la montre prenante, dans un état de réflexion profonde (…) » Article complet, voir : https://karoo.me/livres/les-soeurs-noires-de-philippe-remy-wilkin-entre-crime-et-religion
LE WOLVENDAEL (magazine ucclois), numéro de janvier 2023. Superbe article (de Thierry FIORELLI). Extraits : « Encore un talent ucclois ! (…) un polar qui mêle féminisme, lieux et histoire de Tourai, déchirement entre racines et émancipation (…) désolation devant certains (dys)fonctionnements de la justice, de la police et des médias. (…) la disparition d’une jeune fille aussi brillante que secrète, aussi généreuse que tourmentée (…) Une enquête racontée avec brio, tant à travers la la langue et la plume qu’aux moyens du scénario, du suspense, des rebondissements et de l’érudition. Addictif. » Article complet, voir page 28 : https://www.facebook.com/WolvendaelMagazine? ou sur le site de la revue : https://wolvendael.be/enquete-haletante-a-tournai/
VERS L’AVENIR/Namur, 17 janvier 2023, un article de Michel PAQUOT avec 2 étoiles : « Venu à Tournai pour un salon du livre, un écrivain part à la recherche d’une étudiante d’origine marocaine. Enlèvement ou radicalisation, alors qu’elle était totalement détachée de la religion ? Nous suivons alternativement le détective amateur dans ses rencontres diverses et Siham quelques semaines avant sa disparition. Abordant de nombreux sujets (comme la place des femmes dans l’islam), cette enquête offre une visite détaillée de la cité hennuyère. »
LE CARNET. TOPS de fin d’année 2022. Le livre est dans le Top 3 de Michel TORREKENS ! Voir : https://le-carnet-et-les-instants.net/2022/12/30/top-2022-de-michel-torrekens/
BRUXELLES CULTURE (magazine en ligne, 27/12/22) : très bel article (présentation + longue interview de l’auteur) de Kate MILLIE :
« Quel lien entre Raphaël, un écrivain s’ennuyant au salon du livre « Tournai-la-Page » et Siham, une jeune fille lumineuse rêvant d’émancipation et de liberté ? Aucun. Sinon que Siham a disparu et que Raphaël contacté par une ancienne connaissance partira à sa recherche… Les Sœurs noires, le nouveau roman de Philippe Remy-Wilkin, est beaucoup plus qu’un thriller palpitant. Si l’intrigue mène subtilement le lecteur dans un jeu de fausses pistes, l’opus propose une intense réflexion sociétale ainsi qu’une fascinante rencontre avec Tournai et sa région.
Des bords de l’Escaut à la magnifique Halle aux Draps en passant par maints lieux emblématiques ou méconnus, Tournai est au cœur du livre. Pourquoi ce choix ?
Il m’a fallu quitter ma région d’origine pour Bruxelles, mes études universitaires pour progressivement, au hasard de mes retours, en découvrir toute la singularité, la beauté, les trésors. Un attachement esthétique qui s’est joint à une connexion affective. Du coup, j’ai eu l’idée d’inscrire les racines de mes héros de romans dans un domaine fictif situé à proximité de Tournai, à Gaurain-Ramecroix. Mais, un jour, j’ai voulu aller plus loin, donner toute la place à Tournai, comme décor et comme muse, quasi. Et livrer un Tournai vivant encore, avec des personnages réels se mêlant aux fictifs. Je crois qu’on peut y lire un écho testamentaire mais réalisé avec allégresse.
Le titre, très mystérieux, renvoie à un tatouage à décoder, à l’histoire de Tournai et même à un lieu bruxellois plutôt inconnu…
Les Sœurs noires, oui, c’est mystérieux, je crois que l’inspiration est passée au bon moment. L’un de mes titres préférés avec Encres littorales. Je préfère ne pas trop en dire puisque l’énigme des « sœurs noires » est au cœur de l’enquête policière. Mais disons que ça effleure plusieurs réalités, dont certaines ont à voir avec le passé de Tournai, une rue, un couvent, une activité qui ont grandement participé de l’identité de la ville, de la région, du pays même.
A travers la disparition de Siham, que le lecteur découvre captive dans un château, dès le début de l’histoire, l’opus propose une puissante critique sociétale. Les dérives identitaires, le terrorisme, le masculinisme, le suprémacisme blanc, le féminisme et ses nouveaux défis sont évoqués avec force et finesse…
Merci ! Car, justement, en délaissant mes romans des années 1865 ou des années 1920/1930 (où je mêle accents historiques et sociologiques, thriller et quête intime), je voulais me confronter à des problématiques de notre vie contemporaine, quotidienne : l’identité et la difficulté d’émancipation des jeunes générations immigrées, les menaces qui pèsent sur les avancées des droits acquis par les femmes, la nécessité du combat et de l’enquête, de la quête, etc. Pour fréquenter les réseaux sociaux, qui n’inventent rien mais reproduisent avec un verre grossissant, j’ai été frappé par le côté binaire de la plupart des débats et je voulais offrir de la réflexion, de la nuance, du recul. Un film belge, sur le crime d’honneur, m’avait choqué aussi, je voulais essayer de donner des arguments plus solides à la réalisation féminine, à l’intégration, etc.
Les références musicales, littéraires et cinématographiques ne manquent pas et apportent une belle dynamique à l’histoire… Cette spécificité se manifeste aussi dans Encres littorales…
Beaucoup de commentateurs le signalent, mais en insistant sur le fait que ces interventions ne sont jamais très longues ou ont souvent un rapport avec les événements du récit, un côté métaphorique parfois. En clair, elles participent d’une atmosphère mais ne détournent pas du dynamisme de la narration, qui est mon premier souci. Je veux réaliser un page turner, comme disent les Anglo-Saxons, mais je tente que celui-ci ait un supplément d’âme via son information ou la réflexion qu’il génère, ses thématiques ou ses personnages. Je ne puis dire si je réussis ou pas, mais une anecdote me permet un espoir : j’ai envoyé mon roman policier à la collection policière des éditions Weyrich et les responsables de la maison m’ont transféré dans leur collection littéraire Plumes du coq. Ce qui me ravit ! Je hais les étiquettes et les réductions ! »
NOS LETTRES, revue de l’AEB, 26/12/22. Article de Martine ROUHART. Extraits : « Le nouveau roman de Philippe Remy-Wilkin est construit comme un jeu de piste. L’auteur nous conduit à travers un labyrinthe, essaimant page après page les éléments qui permettent d’assembler les pièces d’un grand puzzle (…) un effluve de mystère happe le narrateur, l’entraîne dans une quête obsédante, ici une véritable enquête. (…) Le rythme est soutenu (…) des dialogues et des mots qui claquent (…) Nul doute que l’auteur a pris du plaisir à écrire ce livre (…). » Voir l’article complet sur le site de l’AEB (à suivre).
COCKTAIL NOUVELLE VAGUE : présentation du livre et lectures par Guy STUCKENS, le mardi 27/12/22, entre 22h et 24h dans l’émission Cocktail Nouvelle Vague sur Radio Air libre cf 87,7 MHZ – https://radioairlibre.net/ : https://www.facebook.com/photo/?fbid=10224045985712181&set=g.126927510949. Extait de la présentation : « (…) D’emblée, l’auteur parvient à créer cette indicible peur qui nous rappelle Malpertuis de Jean Ray. Mais, au fil des chapitres, on se trouve dans d’autres situations, qui nous font craindre le pire ou nous rassurent momentanément, et qui sont comme autant de pièces d’un puzzle qu’il conviendra de reconstituer (…). »
CHANTELIVRE. Lors de sa présentation de décembre, Catherine VANVANSART dira : » J’ai beaucoup apprécié dans ton roman les différentes portes d’entrée que j’y ai trouvées : le personnage de Siham, jeune fille partagée entre ses 2 cultures,qui agit, réagit, ne veut pas avoir à choisir entre le pays où elle vit et celui d’où elle vient ; le lieu et son histoire ; ce chemin « sensuel » que tu nous proposes (la vue, avec les évocations artistiques,les lieux paysagers. ; l’ouïe, avec les musiciens,les chanteuses ; le goût et l’odorat, ,avec ce chemin de gourmandises).
NOTELE : interview TL par Frédérique THIEBAUT (Maxime SOYEZ à la caméra) diffusée le mardi 6 décembre dans l’émission Si on sortait, avant la présentation chez Chantelivre du 10/12/22. Durant l’interview, la journaliste donne son avis : »Les soeurs noires est un roman policier à l’écriture ciselée et documentée, un récit haletant et riche, qui aborde aussi des thématiques contemporaines. » On peut voir et écouter l’interview complète : https://www.notele.be/it34-media124759–les-soeurs-noires-le-nouveau-roman-policier-de-philippe-remy-wilkin.html
LES INTERVIEWS D’ERIC COOPER. Podcast de 33’41 » (avec introduction d’1’30 »), reçu le 5 décembre et diffusé sur de nombreux canaux, qui élargit la discussion au-delà des Soeurs noires pour embrasser toute ma trajectoire, mon travail, mes choix : https://soundcloud.com/radio-eric-cooper/podcastles-surs-noiresle-nouveau-roman-de-lecrivain-philippe-remy-wilkin
LISEZ-VOUS LE BELGE ? en fin novembre. Dans le cadre de l’opération (sur divers réseaux), le chroniqueur (et auteur, éditeur) Claude DONNAY signale le livre dans son Top 3 des Coups de coeur :

LES RENCONTRES LITTERAIRES DE RADIO AIR LIBRE : présentation du livre par Jean-Pierre LEGRAND, avec interview de l’auteur, le lundi 14 novembre 2022, entre 19h et 20h dans l’émission de Guy STUCKENS cf 87,7 MHZ – https://radioairlibre.net/ … dans le cadre de l’opération LISEZ-VOUS LE BELGE ? On peut réécouter (le livre est évoqué durant 23′, dès 1h18’25 ») : https://www.mixcloud.com/guystuckens/les-rencontres-litt%C3%A9raires-de-radio-air-libre-14112022/
LES BELLES PHRASES et LISEZ-VOUS LE BELGE ? : mon 1er article le 14/12/22, par Jean-Pierre LEGRAND. Extraits : « Le roman obéit à un véritable mécanisme d’horlogerie. Les chapitres déroulant le présent de l’enquête alternent avec ceux évoquant les semaines puis les jours précédant la disparition. Ils se répondent, ricochent, entretiennent le rythme, bifurquent soudainement : nous sommes captés. (…) Le style est direct, précis et sans affèterie, les dialogues ciselés. Point de longues descriptions mais souvent une succession de phrases courtes, parfois sans verbe, qui plantent le décor sans relâcher l’action. Le tout est rapide, efficace. (…) Les sœurs noires est un roman formidable. Construit avec une rigueur métronomique, il nous embarque dans une intrigue superbement menée dont le suspense se maintient jusqu’au bout. Un rythme constant, des personnages superbement campés, un sens subtil du découpage et, véritable gageure, une réflexion foisonnante et érudite qui, loin de parasiter le récit, en relance sans cesse l’intérêt. Décidément, quel que soit le genre abordé, Philippe Remy-Wilkin reste fidèle à son credo : « se passionner pour une histoire tout en apprenant et en se posant des questions ; distraire mais jouer les passerelles ». Article complet voir : https://lesbellesphrases264473161.wordpress.com/2022/11/14/lisez-vous-le-belge-les-soeurs-noires-de-philippe-remy-wilkin-weyrich-par-jean-pierre-legrand/ Ou sur le site de l’éditeur : https://blog.weyrich-edition.be/actualite/un-thriller-qui-joue-avec-nos-nerfs-un-roman-formidable/

2e article, prépublié sur Facebook le 17/11/22, de Claude DONNAY (romancier et poète, éditeur, médiateur) : « Avec ce roman, Philippe Remy-Wilkin nous prend à la gorge et c’est un délice. Une intrigue parfaitement ciselée et découpée, des personnages finement campés auxquels le lecteur adhère sans l’ombre d’une hésitation. L’auteur signe un livre à la fois haletant – un thriller, n’ayons pas peur des mots – et un roman de mœurs, une plongée dans la société contemporaine et plus précisément dans une ville de province où normalement il ne se passe rien… Et tout cela sur un rythme qui nous emporte page après page. Difficile à la fin d’un chapitre de ne pas entamer aussitôt le suivant. Les thèmes évoqués participent aussi à la fascination du lecteur. Il est question d’identité culturelle, de communautarisme, de sociétés occultes, de machisme anti #me too, d’enlèvement et de séquestration sur fond d’omerta généralisée. Comment ne pas frémir pour la jeune Siham en lutte contre les traditions familiales autant que contre les comportements équivoques d’une certaine bourgeoisie locale… Le génie de Philippe Remy-Wilkin, c’est de situer l’action de son roman dans la ville et la région de Tournai. Pour ceux qui ne connaissent pas cette ville au passé prestigieux, ce livre est l’occasion d’une plongée jubilatoire dans la cité hennuyère. La culture de l’auteur nous accompagne au long des rues et des lieux emblématiques de la ville sans jamais rien de pesant ni d’ostentatoire, au point qu’on pourrait avoir l’envie (n’est-ce pas Jean-Pierre Legrand ?) de découvrir Tournai sur les traces de Siham et de Raphaël, l’écrivain parti à sa recherche, faux enquêteur mais fin limier. Pas une minute d’ennui. Un livre bondissant comme un torrent de montagne. Et que dire de la langue de l’auteur, chatoyante, percutante, elliptique à souhait. Je me suis délecté au point de relire plusieurs fois le même paragraphe à voix haute pour percevoir et savourer la musicalité du phrasé. Philippe Remy-Wilkin n’en est pas à son coup d’essai romanesque mais il signe avec Les Sœurs noires un roman vraiment réussi et superbement mis en œuvre par les éditions Weyrich. Les fêtes de fin d’année se profilant à l’horizon, je ne saurais que vous le conseiller. Un beau cadeau à glisser sous le sapin. »
CRITIQUES LIBRES, . Recension du chroniqueur français Denis BILLAMBOZ en novembre/décembre 22. Extraits : « (…) Philippe RW nous entraîne au cœur de Tournai, une ville qu’il semble particulièrement aimer, pour raconter l’histoire d’une jeune fille, Siham, qui semble posséder tous les dons et talents (…) digne du meilleur polar (…) son style est efficace, rapide, moderne, il donne du rythme à son récit et à son enquête. (…) C’est aussi une belle visite documentée, touristique et historique, de Tournai (…) un prétexte pour évoquer les problèmes qui perturbent actuellement le bon fonctionnement de notre société (…) des migrants (…) des islamistes extrémistes, des musulmans parfaitement intégrés, des mouvements d’extrême droite, des policiers corrompus, des internautes déjantés, des psychopathes dangereux (…) un regard sur une jeunesse en plein questionnement (…). » Article complet voir : https://critiqueslibres.com/i.php/vcrit/63699
MES IMPRESSIONS DE LECTURE. Recension de Denis BILLAMBOZ. Voir : http://mesimpressionsdelecture.unblog.fr/2022/11/22/les-soeurs-noires-philippe-remy-wilkin/
BENZINEMAG. Recension de Denis BILLAMBOZ. Voir : https://www.benzinemag.net/2022/11/24/les-soeurs-noires-de-philippe-remy-wilkin-tounai-en-cauchemar/
LE COURRIER DE L’ESCAUT/VERS L’AVENIR. Article le 28 novembre 2022, par Françoise LISON. Extrait s: « (…) Au fil de cette saga policière qui aborde notamment l’émancipation des femmes et la résistance que lui opposent différents milieux, le romancier traverse la cité, de la gare à la Maison de la culture et du chemin des Poètes au jardin du Souvenir. Il n’a pas oublié les carrières et leur grisaille, les visages et traces de sa jeunesse. Le récit percuté de dialogues et de mystère garde sa belle fluidité jusqu’au point final. (…) » Voir article complet : https://www.lavenir.net/regions/wallonie-picarde/tournai/2022/11/27/les-soeurs-noires-de-philippe-remy-wilkin-tournai-au-coeur-dun-roman-policier-EHKRUPJPPZG55G3HF7QGLE6E7M/?utm_medium=socialAT&fbclid=IwAR1lLstn8ayZzRW3Ye5EhfnBJeMnuXrgwKeigmw6HcGfY_L0St27UXFZWIs
LA DERNIERE HEURE/LES SPORTS. Article le 28 novembre 2022, par Françoise LISON. Voir article complet : https://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/2022/11/27/les-soeurs-noires-de-philippe-remy-wilkin-tournai-au-coeur-dun-roman-policier-QIWLRQCGTJALNMKLYV2UFC6W7E/
LE CARNET ET LES INSTANTS : mon 5e article le 2 décembre 2022 par Michel TORREKENS. Extraits de ce très long article (qui brosse aussi un portrait assez complet de mon élan de créateur et de médiateur) : « (…) Philippe Remy-Wilkin fait son entrée dans la très belle collection Plumes du coq des éditions Weyrich, (…) qui inscrit un ancrage belge francophone dans sa ligne éditoriale. (…) Philippe Remy-Wilkin brasse de nombreuses questions de société (…) la narration est portée par un suspense soutenu et des rebondissements multipliés jusqu’aux ultimes pages. (…) L’auteur s’amuse à nous mettre sur des pistes qui peuvent se révéler fausses, ce qui est une manière de nous apprendre à nous méfier des préjugés, a priori et autres idées reçues (…) Pour qui ne connaît pas Tournai, ce roman est une invitation à découvrir une de nos plus vieilles villes (…) À la manière de Pieter Aspe, l’auteur best-seller brugeois, à propos de la Venise du Nord, Philippe Remy-Wilkin nous balade dans des lieux emblématiques (…) Cette cartographie pourra inspirer le visiteur curieux de découvrir la ville hennuyère, d’autant que ces noms sont le reflet d’une histoire, d’une culture, voire d’une forme de poésie urbaine. (…) Philippe Remy-Wilkin a acquis une belle expérience de l’écriture et du récit. Il le prouve tout particulièrement dans ce roman (…) Grâce à 54 chapitres courts, l’auteur donne au récit du rythme et une tension qui entretiennent le plaisir de lecture. Il peint des personnages au profil psychologique intense, au croisement de relations diverses, en écho à des milieux de vie contrastés. Un autre niveau de lecture est apporté par le choix d’un héros écrivain (…) ce qui amène quelques réflexions relatives à la fiction romanesque, mais également une mise en abyme en forme de clin d’œil, comme dans cette phrase qui est un comble : « On n’est pas dans un roman », ou celle-ci : « Obtenir un entretien avec l’héroïne de son roman est un plaisir trop rare, sinon unique » ou encore la dernière du livre au détail significatif : « Sur la gauche, la gare de Tournai, littéraire, attend l’aventure d’un nouveau chapitre ». (…)« Article complet, voir : https://le-carnet-et-les-instants.net/2022/12/02/remy-wilkin-les-soeurs-noires/
Marie-Clotilde ROOSE (fondatrice et responsable du Cercle de la Rotonde, poétesse, animatrice littéraire) a apporté un très beau post-scriptum à la rencontre chez CHANTELIVRE, avec ce post sur Facebook : « Comment rendre plus bel hommage à une ville de prédilection, sinon en insérant ses tours et détours, par une oeuvre littéraire destinée à durer ? Après Bruges-la-Morte de Rodenbach, c’est Tournai qui est mise à l’honneur dans le thriller de Philippe Remy-Wilkin, Les soeurs noires, nom d’une rue à Tournai évoquant celles qui portaient secours à des laissés-pour-compte. Le point de départ ? L’enlèvement d’une jeune fille, d’origine maghrébine, donne lieu à une double enquête, l’une négligée, l’autre approfondie par un écrivain-détective. Par un jeu de miroirs et de mises en abyme, le réel et la fiction se répondent, les personnages côtoyant des personnalités et lieux effectifs, dans une série de rebondissements n’altérant jamais la qualité des réflexions. Le samedi 10.12.2022, la librairie Chantelivre a accueilli l’écrivain, en présence de plusieurs lecteurs et amis, dont Alexandra Caufriez pour la mise en voix d’extraits, et le critique Jean-Pierre Legrand. Avec un débat nourri : Tournai est-elle une ville « endormie » ou seulement peu mise en lumière ? Gageons qu’un film, prenant ce thriller comme scénario, ferait découvrir Tournai aussi bien que ce roman ! Défi lancé. » Le texte est accompagné d’un splendide reportage photographique : https://www.facebook.com/photo/?fbid=1511642726010395&set=pcb.1511651912676143&
Les premières réactions de lecteurs…
Pierre SEILLLIER (bibliothécaire), dans un mail daté du 17 juillet : « Ce fut un pur bonheur que d’avoir distillé mon plaisir en lisant deux ou trois chapitres des Sœurs noires le soir dans le train ! Le suspense est soigneusement entretenu tout le long du récit : j’ai bien cru avoir progressé à la fin de chaque chapitre mais j’ai dû chaque fois accepter de faire deux pas en arrière en entamant le suivant… Encore un de ces livres dont on regrette qu’il soit fini ! »
Geneviève CLAEYS : « Un beau polar faisant découvrir ou redécouvrir Tournai, un roman riche de belles citations et de références littéraires. A lire et à relire ! (…) Ce roman est joliment écrit, quel superbe travail ! Je le relirai !
«
Annick BERNARD : « Il n’y avait pas meilleur cadeau de Noël ! (…) différents niveaux de lecture des Sœurs noires… Il y a 1. L’intrigue évidemment ; j’avoue que les premières pages du chapitre 1 m’ont laissée perplexe, mais ont incontestablement attisé ma curiosité. Et alors, et alors… Il est arrivé pour dénouer le fils de l’écheveau. Un écrivain, attachant personnage entouré de ses compagnons ; je les vois, je les suis, je les croise aux détours d’un site historique que j’imagine sans peine. Et donc : 2. Le lieu : Tournai, une cité dont je connais le nom certes, mais un trésor belge à découvrir ! merci d’en susciter l’envie (…) 3. Le contexte social, identitaire, féministe, délicatement abordé, tout en nuances histoire de faire réfléchir et calmer un peu les ardeurs des plus déterminé-e-s (je me modère) dont je serais plutôt ! c’est bien joué. 4. ah oui, les nombreuses références, je n’en ai perçu qu’une partie, dommage mais trop prise par le récit, j’ai préféré renoncer à les comprendre toutes pour rester dans l’action. Enfin, j’ai apprécié « Un jour, quelques semaines, plus tôt, plus tard… » Le temps = l’instant présent, à vivre. Et j’ai vécu de bons moments dans l’attente du dénouement. Merci. »
Lavanya DELNESTE, 17/7/23, dans un mail : « Je lis ton livre doucement. J’ai eu du mal à rentrer dedans, il y avait trop de détails pour mon cerveau. Et, doucement, tout change et si je le pouvais, je l’aurais dévoré en une nuit. Je suis arrivée aux Syriens… La manière dont tu parles de l’émigration (Raphaël) est instructive et me parle. Et Siham est un personnage avec de belles qualités ! Merci pour ce beau roman qui me fait voyager dans la ville de mon enfance et bien plus. »
Marcelle PAQUES (poétesse), sur Facebook en janvier 2023 : » Embarquée dès les premières pages ! Un livre passionnant, un rythme haletant, le mystère… Qui sont les Sœurs noires ? Qui se cache derrière les façades de la ville de Tourna ? Des flash-backs…des personnages complexes, notre société et ses travers. Un beau moment de lecture en dégustant un merveilleux et la voix de Juliette Armanet en toile de fond… – super bien. »
BABELIO, 11 février 23, la lectrice ANTEMIE accorde 4 étoiles et demie : ‘J’ai pu lire Les Soeurs Noires de Philippe REMY-WILKIN, grâce à Babelio Masse Critique et à la maison d’édition belge Weyrich, et je les en remercie. L’intrigue de ce livre tourne autour de la disparition de Siham, jeune femme d’origine arabe, dépeinte par la personne qui veut la retrouver, comme une jeune fille douce, moderne, qui cherche à s’intégrer dans la société, mais qui, on va le découvrir au fil du livre, va se heurter aux traditions de sa famille qui voit son désir de modernité comme un potentiel déshonneur. Cette intrigue peut s’apparenter à une intrigue policière, à la différence près que l’enquête est menée par un écrivain, Raphaël. Et cette différence apporte beaucoup d’originalité au livre. En effet, il regorge de références littéraires ou artistiques, ainsi que de nombreuses descriptions de la ville de Tournai, en Belgique, où se déroule l’histoire. On est au coeur d’un livre policier, mais avec un style inhabituel pour le genre. Le rythme est donné par la construction du livre qui alterne entre le présent (le déroulement de l’enquête) et le passé (l’histoire de Siham). On apprend ainsi à connaître cette jeune femme à la fois grâce à Raphaël, qui interroge toutes les personnes qu’elle côtoyait, et grâce à la description d’évènements de sa vie. On comprend alors petit à petit, les difficultés qu’elle a rencontrées du fait de ses origines et de ses fréquentations. L’auteur ne privilégie aucune piste, mais il nous emmène tout doucement vers un final surprenant, qu’on ne pouvait pas imaginer. Final surprenant et également original de par sa construction. Mais je ne veux pas en dire plus pour ne pas gâcher le plaisir des lecteurs de le découvrir. Agréablement surprise par ce livre et par son style, je pense que je vais lire d’autres ouvrages de cet auteur. »
BABELIO, 5 janvier 2023. Lectrice JEANNINELIT accorde 4 étoiles : « Ce roman nous entraîne au coeur de Tournai (ma ville) que j’ai visitée autrement. J’ai voyagé parmi ses rues et ses monuments. Merci, Monsieur Phillipe Remy-Wilkin. Il nous raconte l’histoire de Siham, une adolescente qui possède la beauté, l intelligence, la générosité,… Les chapitres alternent entre ce qui s’est passé quelques semaines auparavant et le déroulement de l’enquête. Cette enquête concerne la disparition de Siham, élève à l’athénée Bara dirigé par Cathy. Elle est menée par Raphaël, un auteur de polars, sollicité par cette dernière qui est convaincue que la police fait fausse route. Une belle enquête, un bon polar, riche en vocabulaire. Ce roman évoque également des problèmes de notre société : les migrants ayant fui la Syrie et qui se cachent pour ne pas être enfermés, la condition de la femme… On y retrouve également de nombreuses citations, de références littéraires, cinématographiques, musicales. »
BABELIO, GAMAYUN, 8 février 23 : « (Lu dans) Masse Critique Littérature, janvier 2022 : « » Un thriller se faufile à travers un Tournai méconnu… ». Je coche illico. le thriller n’est pas mon genre de prédilection, mais Tournai est le berceau de ma famille, j’y suis née, y suis souvent passée en visite, mais n’y ai jamais vécu. En découvrir les coins méconnus, je suis partante. Coup de bol : le livre m’échoit. Merci Babelio, merci Weyrich Edition ! En fait, il s’avère que c’est surtout le Tournai méconnu des non-Tournaisiens dont il est question. Par moments, cela fait un peu fort prospectus touristique, mais je ne peux pas en vouloir à un auteur qui tente de corriger l’injustice fait à cette ville mystérieusement délaissée par les voyageurs malgré les superbes traces architecturales de son riche passé (tout en ne se privant pas de lancer quelques piques à la municipalité qui a sacrifié son Pont des Trous sur l’autel du transport fluvial). Cela dit, il ne s’agit que de la toile de fond. Les préoccupations du XXIe siècle s’invitent là comme ailleurs : le statut des femmes, les émigrés musulmans de la première ou deuxième génération, les réfugiés sans-papiers… Cette enquête est pour l’auteur l’occasion de réflexions pertinentes sur l’islamisation plus ou moins réelle de ceux qui vivent parmi nous et nous inquiètent tant, mais aussi d’un clin d’oeil aux policiers de cinéma et leurs travers incontournables. On croit rapidement deviner de qui Siham est captive et pourquoi, mais il faut toujours laisser une petite place au doute… L’écriture est agréable et les courts chapitres s’enchaînent à toute allure. La fin est fort chahutée. Quelques mots savants auraient mérité un recours au dictionnaire, mais j’avoue ne pas avoir eu le courage de me lever pour aller en chercher un. Bref, je recommande ! »
Nathalie STALMANS (historienne, enseignante, autrice) : Je referme tes Sœur noires, époustouflée. Quel roman étonnant ! Des pages dures sur l’Homme, mais un ton qui reste toujours empreint de douceur. Des références littéraires, historiques et cinéphiles à la pelle, sans jamais tomber dans le pédantisme. Des analyses sociales affirmées mais qui laissent des brèches au doute. Des héros qui vacillent mais gardent envers et contre tout leur sens de l’humour. Du vrai et du fictif qui s’entremêlent… L’amour de ta ville, des souvenirs d’enfance qui remontent, de la sincérité entre toutes les lignes. Beaucoup de jolies phrases et idées, comme : « … leurs regards se croisent et se caressent, s’arriment, sans qu’il soit question de séduction, comme on … revisite un rêve de jeunesse… » ou « Raphaël s’interroge sur ce qui fait naître une amitié, une connivence, une empathie » ou « une tempête de sable ; des milliards de grains d’autosatisfaction et d’euphorie » et tant d’autres !! »
Cathy STALENS (directrrice d’athénée) : « Une très belle balade dans le passé et dans Tournai , une énigme affûtée et je t avoue la découverte de plein de choses que j’ignorais de ma ville. »
Etienne CUIGNET (ingénieur) : « Je me suis procuré le livre directement chez l’éditeur ! Impatient. Je l’ai dévoré durant mes congés! Avec beaucoup de plaisir. (…) J’ai fureté à la recherche des petits détails, les lieux, les gens, qui me parlaient beaucoup. Tant est si bien que je l’ai lu trop vite, impatient de découvrir la fin. Aujourd’hui je le reprend au début et j’ai bien l’intention de ne plus laisser passer un détail sans avoir eu le temps de le conceptualiser. Bravo pour ce travail (…) J’ai relu les 7 premiers chapitres, suis retourné sur chaque mot, chaque situation, chaque espace qui m’avaient interpellés en 1ère lecture, trop pressé par l’histoire pour m’y attarder. Je dirai que c’est mon 1er roman interactif. Je suis Siham pas à pas dans la ville, cherche sur le plan quand je ne connais pas. Je suis même retourné constater de-visu la configuration du lycée Bara et de l’internat. Je redécouvre ma ville. Je découvre en même temps les madrigals, chants pleine voix que j’adore depuis longtemps sans savoir les nommer exactement. (…) Centrer ton roman sur la migration marocaine, quelle bonne idée. (…) Je me suis encore attardé ce matin sur l’hospice des sœurs de la charité. Vive google map! Prochaine visite j’y retourne ! D’ailleurs on a prévu une visite avec des amis et tu m’as donné de belles idées de redécouvertes, ainsi qu’un arrêt au resto de l’ancienne poste. (…) Je découvre tes amis, les anciens mousquetaires! J’imagine qu’il y a du vrai dans tout cela; le jeux de l’Histoire, le plaisir des Lettres, ça correspond fort bien à l’image que j’ai gardé de toi. »
Vincent ENGEL (auteur, professeur de littérature contemporaine à l’UCL) : « Mérité ! » (NDA : le Top 3 de 2022 d’un chroniqueur littéraire).
Kate MILLIE (autrice, chroniqueuse littéraire) : « Très mérité ! (…) Ce livre est d’une grande subtilité.. » (idem).
Pierre COULON (flûtiste, facteur de flûtes) : « J’en ai presque fini la lecture. Suspence, érudition, belgitude…. Super livre ! »
Christine JACQUES (bibliothécaire) : « Je le termine à l’instant et suis bien d’accord . Bravo ! » (Idem).
Gilles MEURA (ingénieur) : « Triplé ici aussi sous le sapin de Noël ! Offert aux 3 « pièces rapportées » de la famille. » (idem).
Jean-Pierre LEGRAND (juriste, chroniqueur littéraire) « Tes Sœurs noires sont formidables. Un rythme constant, des personnages très bien campés, une intrigue superbement menée, servie par un sens subtil du découpage et, tour de force, une réflexion foisonnante et érudite qui loin de parasiter le récit, en relance l’intérêt. Et puis, en arrière-plan, il y a Tournai. C’est si bien amené que Françoise et moi envisageons d’y passer quelques jours au printemps avec ton roman pour guide. »
Michel TACK (attaché à un musée d’art, immense lecteur): « (…) J’ ai acheté hier soir ton roman Les Sœurs noires et, en l’espace d’une soirée, j’ ai lu les 146 premières pages…Ton ouvrage est passionnant et ,ce qui ne gâche rien, est très bien écrit…J’ ai beaucoup appréciés toutes les belles évocations de Tournai et de l’ Athénée royal Jules Bara, l’ évocation de notre ancien professeur de français, Claude Leclercq (…). » Puis, en fin de lecture : « Si je devais le résumer en un mot : passionnant… »
Marie-Clotilde ROOSE, en 4 temps, au début, au milieu, à la fin de sa lecture… et un peu après : « (…) je découvre avec délectation ce samedi d’octobre le thriller de Philippe Remy-Wilkin, qui met en scène une fiction mouvementée, des personnages de roman ainsi que des personnalités réelles, du Tournaisis et d’ailleurs. Fidèle à Tournai autant qu’aux écrivains qu’il côtoie (par son travail critique, les salons de livres, etc.), l’auteur s’est amusé à tisser des liens entre ces lieux et personnes contemporaines. Une de ses caractéristiques est son habileté à insérer, dans un cadre finement documenté, l’imaginaire le plus fécond, liant l’Histoire aux histoires inventées. La pensée de l’écrivain y déploie sa soif de connaissances autant que les anecdotes vivantes, qui font rebondir l’attention de page en page. (…) J’adore ton récit : il est vif, toujours bien écrit, rapide et bien « suspendu » (…) , je le lis comme on boit un vin de grande qualité : à petites gorgées, le savourant, heure après heure, jour après jour. (…) Félicitations Philippe Remy-Wilkin! J’ai fini la lecture hier, 7 novembre et, à aucune seconde, ne me suis ennuyée, que du contraire ! Récit hautement littéraire par la qualité de l’écriture, tout en gardant intacte l’atmosphère contemporaine, avec la brutalité du langage et des moeurs actuelles. Pas un seul instant, je n’aurais pu me douter de l’issue de la trame ; j’ai adoré ce tissage de connaissances et réflexions, à une action sans cesse rebondissante. Aucune longueur, plusieurs mises en abyme et jeux de miroirs, amusés et amusants. Est-ce que je me trompe ? J’ai la sensation que tu as eu un plaisir particulier à écrire ce livre, par ce jeu de dédoublements entre le vrai et le vraisemblable, le « Je » et l' »Autre », l’écrivain et ses héros (Raphaël et Siham), le masculin et le féminin? Chapeau lancé très haut !
(…) C’est un chef-d’oeuvre, tant c’est vivant, subtil, bien pensé et bien ficelé ! Tellement actuel et nécessaire pour dénoncer les aberrations de notre époque ! (…) Je sais à quel point tu prends soin de chaque phrase, réfléchie, ce dont ton écriture témoigne sans jamais qu’elle soit figée. Bien au contraire, elle est moderne, rapide, pointue, avec parfois quelques éléments plus longs en mode « pensée intérieure » (j’ai bien apprécié cela aussi, la manière dont tu fais entrer tes lecteurs dans la pensée intime des personnages). (…) »
Kate MILLIE (5/12) : « J’ai terminé Les sœurs noires… » Whaouh ! Quel livre aux mille rebondissements ! (…) Quelle magnifique Siham !!! »
Sylvie GODEFROID (5/12, sur Facebook) : » #MadeinchezNous Notre Belgique a du talent. Notre Sabam en est fière. (…) Personnalité complexe, l’homme n’induit jamais la demi-mesure. Il fascine ou irrite, passionne ou titille. Sa franchise courtise les hauteurs… quand elle ne frétille pas parmi les auteurs. Electron libre du microcosme des lettres belges, il passe le plus clair de son temps à les sonder, les analyser, les mettre en valeurs. Bien qu’il se targue de ne plus se consacrer aux plumes de notre Belgitude qu’avec parcimonie, l’homme ne cesse de s’y vouer, de s’y consacrer. A notre tour de mettre en lumière l’épaisseur attrayante de son dernier délit littéraire, Les soeurs noires. Et ce n’est pas sans émotion que je rappelle que Philippe Remy-Wilkin a reçu, il y a quelques années, un SABAM AWARD en littérature. Bon vent, l’artiste ! » Qui partage mon happening : Philippe REMY-WILKIN et LES SOEURS NOIRES présentés à TOURNAI !
Jean-Marc MOULIN (4/12) : « J’ai lu avec beaucoup de plaisir votre roman un rien décalé (second degré) qui fait un chouette usage des décors tournaisiens (…) votre récit est bien construit et les réflexions sur l’Islam de bon sens. »
Claude DONNAY (écrivain, éditeur, médiateur) : « « Dans un château, une jeune captive croit échapper à ses tortionnaires. Dans un salon du livre, un auteur espère échapper à l’ennui. »… Le début de cette 4e de couverture m’enchante déjà. Surtout qu’il est question de « Thriller » dans la ville de Tournai… Je reviens vers vous, mais vous pouvez me croire, les quelques extraits lus en feuilletant le livre, ne peuvent que m’encourager à vous le conseiller. Vous allez, nous allons nous régaler !«





