GREAT !
L’Oeuvre de Caïn, mon 2e roman écrit (mais le 3e publié), est réédité en juin 2024 par les éditions SAMSA. Il se déroule en 1925 et s’intègre dorénavant dans une série de 4 aventures autonomes de son héros Valentin Dullac. Celle-ci débute chronologiquement en 1918, avec le court roman ONZE BRUXELLES, paru chez Samsa en 2023. Deux gros romans devraient suivre, situés en 1919 (en Grande-Bretagne, dans une ambiance à la Conan Doyle) et 1934 (700 pages, un thriller explorant 2 grandes énigmes de l’histoire belge, à travers les décors et les pages d’histoire du pays). Ils sont déjà écrits, mis en réserve, à paraître en 2026 et 2027 sans doute.

Le pitch ?
Présentations
. Le vendredi 14 mars 2025, à 19h, participation à un débat sur l’utopie des années 1920 à la FOIRE DU LIVRE DE BRUXELLES, puis dédicaces de 20h à 21h sur le stand SAMSA.
Retours 2024
Jean-Pierre LEGRAND, 3 septembre 2024, livre un article aussi complet que pénétrant, quasi définitif, dans LES BELLES PHRASES. Extraits : « (…) Il s’agit donc d’une réédition. La nouveauté est qu’il s’intègre désormais dans un ensemble romanesque plus vaste initié en 2023 avec Onze Bruxelles où apparaissait déjà Valentin Dullac. Ce héros, mélange de dandy humaniste et de détective, devrait nous revenir dans deux prochains volumes. (…) comme toujours avec Philippe Remy-Wilkin, si l’intrigue tient constamment le lecteur en haleine, elle n’épuise pas l’intérêt du roman qui recèle bien d’autres qualités et invite à plusieurs niveaux de lecture. Tout d’abord l’agencement du roman. Dans le fil d’un récit captivant, l’auteur insère des extraits du Carnet d’Orient tenu par Valentin. (…) Ces hauts lieux de la spiritualité antique (… ) acquièrent dans le roman, une dimension initiatique. Cela nous vaut une des plus belles pages du livre. Je ne résiste pas à citer l’extrait en entier. Valentin est au pied d’une falaise sur laquelle se découpe un impressionnant bas-relief de Darius le Grand : « Je jouissais de l’implacable rayonnement du soleil et des zones ombragées offerte par la paroi. Je me sentis incroyablement léger et heureux. La vie était magnifique et le monde féerique. Tout avait un sens, une profondeur, une chaleur. Un avenir grandiose m’attendait, des œuvres immenses que je palpais alors au hasard des bons euphoriques de mon esprit. Tout entier à l’instant mais inscrit dans mon passé, mon futur, je sus que je sculptais l’un des meilleurs fragments de mon existence. » Comment mieux écrire la jeunesse à son acmé, cet instant décisif où toute une vie se joue ? Par les rencontres déterminantes et les échanges qu’elle suscite, l’aventure d’Orient est fondatrice : tout au long du roman, l’intrigue se développe en miroir de ces années solaires.
Aux ocres et aux éblouissements du désert répondent près de quinze ans plus tard, les ensorcellements du Rhin et le sombre attrait de la Germanie dont l’existence, écrit Philippe Remy-Wilkin « s’est longtemps construite en contrepoids d’une latinité organisée, métissée ». (…) partout en Allemagne resurgissent d’un passé fantasmé des sociétés secrètes ou ésotériques aux théories absurdes et mortifères attirant dans leur sillage un monstre opportuniste : le nazisme. L’évocation de cette période est particulièrement réussie ; le lecteur a l’impression d’avancer à tâtons dans une obscurité trouée d’éclairs. Dans la toile d’une intrigue hitchcockienne, Philippe Remy-Wilkin laisse se débattre une petite dizaine de personnages tous fort bien campés. (…) Aucun n’est gratuit ou abandonné en rase campagne (…) ; toutes les pièces du puzzle ont leur nécessité et s’emboitent parfaitement. Dans les romans comme au cinéma, la différence se fait aussi – et surtout – au niveau des personnages secondaires : une mention spéciale doit être réservée à la troublante Aliona ainsi qu’au commissaire Otto Klugge, furieusement antipathique au premier abord mais dont l’image évolue au fil de l’enquête. Mais à bien le lire, ce qui fait le prix de ce roman, c’est la richesse de ses thématiques très originalement dérivées de deux leitmotivs qui en rythment le cours : d’une part la figure de Caïn, à la fois incarnation du chaos pulsionnel et symbole d’émancipation, d’autre part les dix tribus perdues d’Israël qui obsèdent Caspar. (…) Ces deux leitmotivs entrainent à leur suite, très naturellement, comme par un phénomène de gravitation, toute une réflexion sur la question des origines, le sens de l’histoire, le nationalisme, l’intégration, la judéité, l’intrication du Bien et du Mal. Scotché à ce roman chapitre après chapitre, je l’ai refermé très curieux de découvrir les prochaines tribulations de Valentin Dullac. (…) Voir l’article complet :
Vincent ENGEL (auteur, éditeur), dans un mail, le 7 août 2024 : « (…) tu m’auras accompagné durant tout ce périple-découverte en Ecosse ! Et tu auras été le seul livre que j’aurai lu. Avec plaisir et intérêt, dois-je préciser tout de suite. J’ai eu l’impression d’y croiser mon Asmodée et d’y retrouver des descendants d’un même ascendant que moi, Mendelssohn, des échos de Maramisa (qui est aussi une interrogation sur les racines et les fondements du judaïsme)… J’ai particulièrement aimé cette manière éprouvée de mêler la fiction et l’Histoire, pour mieux mettre celle-ci en perspective et en question. On en reparlera ! Mais merci pour cette lecture (…). »
Jean-Pierre LEGRAND (chroniqueur littéraire), le 2 septembre 2024, dans LES RENCONTRES LITTERAIRES DE RADIO AIR LIBRE, présente ce livre comme l’un des coups de cœur de son été. Podcast à suivre.
LE CARNET, en juin 2024, ressort un article de Michel TORREKENS consacré à la 1e édition, avec la nouvelle couverture : https://le-carnet-et-les-instants.net/remy-wilkin-l-oeuvre-de-cain/
Pour en savoir plus sur cette réédition (extraits, etc.)
https://www.samsa.be/livre/de-cain OU (extrait PDF) https://www.samsa.be/livre/de-cain#pane2
Précédemment ?
L’Œuvre de Caïn, dans sa première édition (Le Cri, Bruxelles, 2012), a été finaliste (4 nominés) des AWARDS SABAM 2014 pour le Prix du meilleur livre des deux dernières années ! Un Prix qui allait rapidement acquérir une place remarquable, vu la qualité des lauréats : Giuseppe Santoliquido (2014) et Patrick Delperdange (2016) ! (NDA : je succéderai à ces pointures-là en 2018, décrochant à mon tour l’Award Sabam avec Lumière dans les ténèbres, qui réunit mes 3e et 4e romans).
Christian Lutz, le fondateur et directeur du CRI a quitté cette maison pour aller créer/gérer SAMSA, et je l’ai suivi depuis, par loyauté et attachement, malgré d’excellents contacts avec le repreneur Philippe Comeliau (boss des éditions MOLS).
NB. Ce roman est un cas un peu spécial . Il avait été écrit il y a des années et retenu par 3 éditeurs mais il n’a pas eu le temps de paraître, il y a eu une faillite, des mésaventures, j’ai été happé par d’autres chantiers, l’ai laissé sommeiller. Un jour, entre deux projets, je l’ai ressorti, retravaillé, adapté, puis je suis reparti sur d’autres immersions… Mais je l’avais envoyé. Il a retenu des attentions. J’ai appris qu’il vivrait enfin… alors que je terminais un blocus de deux ans autour d’un nouveau roman, où le héros de L’Oeuvre de Caïn réapparaissait. En clair, ce 3e roman publié est mon 2e écrit. Mais je l’ai tellement réécrit qu’il se situe au final entre les moi écrivains d’hier et d’aujourd’hui, je me le suis réapproprié.

Vie du livre et autour du livre
. Le roman a été baptisé en novembre 2012, lors de trois séances de dédicaces à la Foire du Livre belge d’Uccle (samedi 17), à Tournai-la-Page (dimanche 18) et à la librairie Joli Mai de Saint-Gilles (lundi 26).
. L’auteur a été mis sur le grill en public par Jean Jauniaux (interview de 14h à 14h15 le samedi 17/11 au Centre Culturel d’Uccle) et par Paul Emond (rencontre de 18h30 à 19h30 le 26/11) chez Joli Mai.
. La Fédération Wallonie/Bruxelles m’a invité à la Foire du Livre de Bruxelles pour un débat animé par Laurence Ghigny sur le thème central de la manifestation, Les Ecritures meurtrières, en compagnie d’Armel Job et Philippe Nihoul (jeudi 7 mars 2013, à 13h, sur le Forum).
. Amnesty International m’a invité à participer à son opération Dédicaces lors de ladite Foire (dimanche 10 mars, 16h, sur le Théâtre). Le comédien Jean-Louis Sbille a lu mon texte parmi d’autres pages d’auteurs belges dédiées à des prisonniers d’opinion en alternance avec des poèmes de ces derniers. Texte complet en ligne sur FB.
. J’ai créé jadis une page Facebook consacrée au roman : http://www.facebook.com/LOeuvreDeCain?ref=ts&fref=ts. On y trouve une présentation du récit et de l’auteur par l’éditeur, des considérations de l’auteur sur l’intrigue et ses contenus, des plus apparents aux plus subtils… Mais aussi des reportages des photographes Pierre Moreau et Alain Forthomme, avec des liens vers leurs sites. Des photos des repérages préalables à l’écriture. Des liens vers des interviews TL/radio, des articles, des extraits de commentaires de la critique ou des lecteurs, des annonces…
Les médias en parlent
. Et Dieu dans tout ça ? émission de Jean-Pol Hecq sur RTBF/Radio/Première. « Que dieu bénisse la sainte Russie ! – Dimanche 23 décembre 2012 » avec, en 2e partie : « L’Œuvre de Caïn – rencontre avec Philippe Remy-Wilkin ». Durée : 1h. Je suis interviewé entre la 45e et la 58e minute. L’émission est restée plusieurs semaines en podcast. Sur le site RTBF, JPH écrit : « C’est un roman qui ressemble à s’y méprendre à une aventure policière que propose le romancier bruxellois Philippe RW. L’action se passe en Europe vers la fin des années 1920 et nous emmène de la Belgique à l’Allemagne en passant par la Pologne, la Suisse ou encore les Pays-Bas, au cœur des réseaux pseudo-ésotériques qui pullulaient dans le sillage du nazisme naissant à cette époque troublée et troublante. Mais au-delà de ce scénario haletant, Philippe RW propose en fait une profonde réflexion sur le thème éternel du mal et de la gémellité tragique… ». Dans son émission, JPH évoquera « un récit jubilatoire, qui touche au roman d’espionnage » (pour l’action, l’ambiance, le suspense ?)… mais « qui dévoile progressivement un autre niveau de lecture : thématiques philosophiques, références littéraires et historiques, jeux de miroirs et de correspondances, reconstruction rigoureuse d’une Allemagne de l’entre-deux guerres, décrite dans toute son ambivalence (notamment quant à la place des Juifs) ». Lien : http://www.rtbf.be/lapremiere/emissions_et-dieu-dans-tout-ca?emissionId=1010#.UNQ9kc61arN.facebook
. Le temps pour le dire, sur Notélé, émission « Paraître ou ne pas être » du mardi 18 décembre 2012, consacrée aux écrivains de la Wallonie picarde (de Françoise Pirart à Françoise Lison, en passant par Henri Vernes, Marc Quaghebeur, Régine Vandamme, Chantal Deltenre, Colette Nys-Mazure, Michel Voiturier, etc.). Mon interview par Dominique Rombaut dure 4 minutes, à partir de 30’18’’. Elle dit notamment que j’allie « les actes aux paroles », « une plume stylée à l’action pure et dure » ! Précédemment, elle avait asséné que mes romans étaient sophistiqués, terme que je revendique pleinement !
. Le Carnet et les Instants, numéro de décembre. Bel article de Michel Torrekens, qui rappelle mes précédents romans, décrit bien celui-ci mais, surtout, insiste sur mon goût pour les défis, mon désir d’entraîner le lecteur « aux croisements des mythes, idéologies et philosophies ». Bien vu ! Pointons la conclusion de son assez long article (une demi-page) : « L’Œuvre de Caïn, nourrie de faits historiques méconnus, propose une histoire ample, avec du suspense, de l’action, des rebondissements, pas mal de mystères, des personnages hauts en couleur ou émouvants, qui donnent un relief inédit aux années troubles d’avant-guerre. »
. Vers l’Avenir/Tournai, édition du 4 décembre. Long et bel article de Françoise Lison : http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20121204_00240085&postcode=7500 Une FL qui, lors de l’interview, m’ a déclaré que j’écrivais du roman « avec l’intensité de la nouvelle… voire une touche de poésie ». Comme je travaille particulièrement cet aspect…
. Reflets, numéro de décembre de la revue de l’Association des auteurs de Wallonie et de Bruxelles. Dominique Aguessy nous décrit le roman, son intrigue (« une course poursuite où se croisent gangsters, proxénètes, policiers, détectives… ») et ses contenus (aspects policiers mais aussi historiques, sociologiques, mythiques…) dans un article fouillé, long et élogieux, dont on mettra en évidence les dernières lignes, sa conclusion : « On ne saurait résumer ce roman qui va de rebondissements en surprises jusqu’à la fin du texte. D’amples connaissances historiques, un art du récit, une manière subtile de cultiver le suspens donnent à ce roman une intensité qui ne faiblit à aucun moment, n’offrant guère de répit au lecteur. Philippe Remy-Wilkin nous emporte ainsi dans un parcours initiatique le long du Rhin et c’est avec délices que nous nous prêtons au jeu. »
. Indications, numéro de juin 2012. Morgane Vanschepdael a écrit pour la revue avant la publication, sur base des épreuves. Extraits d’un très beau texte (2 pages pleines) : « (…) un voyage entre l’Orient et l’Allemagne, un plongeon inquiétant dans l’entre-deux-guerres (…) Plus qu’une enquête bien ficelée, c’est un grand roman de questionnements et de découvertes. (…) Philippe Remy-Wilkin parvient à créer des ambiances en très peu de mots. Le début du roman (…) atmosphère lourde, marquée par un mystère obsédant. (…) la présence imposante du Rhin. (…) Grâce aux « Carnets d’Orient » de Valentin, le lecteur est régulièrement propulsé dans l’espace et le temps. En 1912, il fait la rencontre de Caspar sur un chantier de fouilles en Mésopotamie puis celle du mystérieux T.E. sur le site de Karkemish (…) Tous trois sont des Caïn à leur façon, dans leur propre histoire. (…) intermèdes (…) précieux : tout en nous plongeant dans les souvenirs de Valentin, ils fournissent des éléments dont on ne sait pas encore toute l’importance (…) Plus on avance (…), plus l’intensité de l’écriture prend aux tripes. (…) Si l’auteur n’hésite pas à malmener ses personnages, il tisse aussi entre eux des relations très particulières (…) L’amour apporte avec lui une certaine fraîcheur (…) Mais la beauté des personnages, sous les coups de projecteurs discrets et savamment orchestrés, réside dans leur évolution. (…) le plus intéressant est sans doute Otto Klugge, un commissaire allemand d’apparence sèche et antisémite, qui se révèle au fil des pages. Leur histoire se mêle à l’Histoire, livrée, rappelée, respectée au fil des pages et souvent partagée au cours de longs monologues où la plume se fait passionnée. (…) Le style d’orfèvre de Philippe RW se fait souvent poétique (…) des comparaisons riches et pertinentes (…). Si l’intrigue et son traitement sont assez classiques, à dessein, le réalisme du contexte est percutant (…) une œuvre toujours vivante à votre esprit (…) une humanité bouleversante. Un message d’amour et de culture qui vient du fond des âges, immense et universel. »
. On notera encore des photos de l’auteur (de Pierre Moreau) et une évocation du roman (par le rédac’chef Steve Polus), de l’interview publique d’Uccle dans le magazine Wolvendael de décembre.
. On reparle du roman dans le numéro de décembre de la revue Indications, dans la rubrique du Prix Indications de la Jeune Critique tenue par Xavier Dessaucy. Car L’Œuvre de Caïn est présélectionnée ! Nous sommes dans les 3 romans retenus ces deux derniers mois et rejoignons les pointures Weyergans, Polet, Bauchau, Hoex, Lamarche, Toussaint… et deux de nos collègues préférés, Rossano Rosi et Bernard Quiriny.
. Interview sur Radio Judaïca, en direct, de 13h à 13h30, le jeudi 31 janvier 2013, par Nicky Depasse, aussi sympathique qu’enthousiaste.
. Magnifique article de Michel Paquot dans Vers l’Avenir/Namur du jeudi 7 mars 2013. Je conjuguerais, à l’entendre, « une trame haletante + une écriture raffinée + une solide érudition impeccablement vulgarisée ». Il renchérit : « un formidable suspense », « une intrigue époustouflante (…) riche et complexe», « une profonde singularité » due à « une toile de fond remarquablement documentée ». Il conclut par un « Magistral ! ». Et je rougis ! Texte intégral : http://www.google.be/url?sa=t&rct=j&q&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&ved=0CDIQFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.lavenir.net%2Farticle%2Fdetail.aspx%3Farticleid%3DDMF20130307_00278672&ei=91A6UbG7B4O8PamsgKgI&usg=AFQjCNF4OF7UqcH0wGr3DydwkmXU8d5MUQ
. Rencontre du Cercle de la Rotonde, le vendredi 25 avril 2014 à la Bibliothèque de Tournai (Auditorium). Entretien avec Bernard Dan, Adolphe Nysenholc, Philippe Remy-Wilkin (18h). Animation : Marie-Clotilde Roose. Précédant la date du 28 avril, jour de commémoration de la Shoah, cette rencontre abordera la question cruciale de l’identité, de la mémoire et de la souffrance humaine, à travers des récits mettant en scène des victimes de la barbarie, à court et à long terme.
Ce qu’ont dit les premiers lecteurs
. (…) l’intrigue est complexe, c’est le moins que l’on puisse en dire. Mais je ne l’ai jamais trouvée confuse ; au contraire, elle est toujours bien menée, passionnante de bout en bout. Et le dénouement ne vient pas ternir l’enthousiasme du lecteur. (…) j’ai été tout à la fois impressionné et fasciné par les connaissances quasi encyclopédiques de l’auteur (…) l’information passe très bien au travers de l’action (…) une histoire passionnante, bien racontée, basée sur des faits mystérieux mais bien réels (…) (Michel Vause, auteur, membre du comité de lecture du Hêtre pourpre en son temps).
. Les aventures de ces personnages sont passionnantes ! Que de rebondissements dans cette histoire ! (…) grande idée que d’alterner passé et présent (…) de très belles images (…) quelle recherche ! on s’amuse et on apprend beaucoup ! (…) écriture magnifiquement fluide (…) je suis prisonnière de ce roman (…) j’ai dévoré les derniers chapitres d’une traite (…) on court à côté du héros (…) ce qui était formidable, c’est que j’éprouvais des sentiments pour les personnages tant ils semblaient réels, j’avais peur pour eux … (…) l’épilogue est très poétique (…)(Pascale Dethy, experte financière et juridique, Drogenbos).
. (…) très intéressant tout en étant divertissant (…) très fourni en Histoire, en considérations sur Freud, des matières occultes, les origines de l’Allemagne, le peuples juif, tout à fait passionnantes, qui m’ont fait rêver…(…) captivant, bien écrit, très documenté… (Pierre Coulon, flûtiste, compositeur, créateur d’instruments, Rhode-Saint-Genèse).
. (…) j’aime beaucoup l’ambiance, la noirceur, le caractère délirant (…) (Luc Delépine, expert financier puis statisticien, La Hulpe).
. Merci pour ce voyage à travers l’espace et le temps. C’est un livre rempli de mystères et de surprises jusqu’à la dernière page. (Natalie Swennen, Uccle)
. J’arrive à la fin de ton formidable roman. Un régal ! (…) Une aventure passionnante, intelligente ! Au coeur de l’Histoire. Bravo et merci ! (Boris Gaquère, guitariste, compositeur).
. (…) que du plaisir ! Une belle découverte, très éloignée de ce que je lis d’habitude. Du souffle, du rythme, des trouvailles d’écriture, des personnages intrigants et attachants, je me suis régalée dans les méandres de l’Histoire/histoire. Bravo, bravo. (Laurence Mechelynck, formatrice en management, Bxl).
. J’ai beaucoup aimé votre livre et ai voulu faire partager mon enthousiasme aux lecteurs. (…) Et encore toutes mes félicitations pour ce magnifique ouvrage. (Dominique Aguessy, auteure et critique, dans la revue Reflets).
. (…) Quant au Caïn, je me réjouis des critiques élogieuses qu’il reçoit, car comme je te l’ai écrit, s’il fallait émettre du négatif, ce serait par excès d’ambition et donc de positif. De ceux que j’ai lus de toi, c’est le livre qui a le plus de corps, celui aussi sans doute qui est le plus proche de mes préoccupations personnelles. (Etienne Derideau, philosophe, expert juridique de la CE, Tournai).
. J’ai trouvé votre livre formidable, très très intéressant, on apprend beaucoup, on attend le suivant. Bravo ! (Léa Pingen, pianiste et pédagogue).
. (…) toutes mes félicitations pour ce vaste travail. La lecture s’en est révélée passionnante ; la psychologie des nombreux personnages est nettement dessinée et le suspens créé par la narration va crescendo, ce qui donne un alliage assez original entre le plaisir immédiat de la lecture et la réflexion apportée par le contexte historique richement évoqué et dans lequel est immergé le lecteur. (…) Je te rejoins tout à fait dans la conception de nos projets artistiques: ne pas chercher à imposer Une Vérité, mais amener une réflexion conduisant à une perception plus consciente, sensible et humaniste du monde dans lequel nous vivons et de sa grande complexité qui toujours nous dépasse. (Jean-Pierre Deleuze, compositeur, pédagogue, académicien).
. Formidable ! (Odile Becar).
. Juste un petit mot pour te dire que ton roman est passionnant. (Paul Emond, auteur dramatique, romancier, académicien).
. Elogieux, oui, mais pas trop (NDA : elle parle de l’article dithyrambique de M.Paquot). C’est mérité… Je viens de le terminer et j’ai beaucoup apprécié. (Joëlle Maison, Echevine de l’Education puis députée, avocate, Uccle).
. A travers le brillant roman de Philippe Remy-Wilkin, issu d’un long travail d’immersion et de réflexion, L’Oeuvre de Caïn, la judéïté est au cœur d’intrigues sombres et mystérieuses, vers 1925, en république de Weimar, où montent déjà nationalisme et théories antisémites. La guerre 14-18 a séparé deux amis, le Bruxellois Valentin Dullac et le Juif allemand Caspar Mendelssohn ; leurs retrouvailles sont empêchées par des tentatives de meurtre et mènent Dullac à une enquête approfondie, au suspense haletant, à travers plusieurs villes d’Europe et ses souvenirs d’Orient. La question des origines complexes et de l’essence de la judéïté traverse tout le voyage initiatique, avec celle de la séparation des douze tribus du peuple hébreu, fils de Jacob, et de leur dispersion. Celle aussi, sous-jacente et mythologique, de la relation ambigüe de Caïn envers Abel, qui se révèle ici moins comme jaloux envers le « préféré » de Dieu, que comme figure rebelle contre l’arbitraire. Le mal apparaît lié à la frustration, à l’écartement, au désir déçu de l’identité accomplie, au fantasme avorté de la maîtrise du Tout. (Marie-Clotilde Roose, animatrice du Cercle de la Rotonde et poétesse).
Une postface écartée dès la première édition
Où l’auteur s’adresse aux lecteurs
Comme mon frère, qui a voué sa vie aux serpents, aux araignées, aux scorpions, une attraction irrésistible me pousse vers les victimes de préjugés. Et mes ouvrages historiques, mes romans sont ancrés dans la réhabilitation.
Ici, il s’agit des Juifs et des Allemands, qui ont longtemps figuré, et figurent encore trop souvent, l’étranger, l’ennemi en nos contrées occidentales.
Enfant, je me disais pourtant que notre civilisation chrétienne devait beaucoup au Livre des Juifs, à un certain Jésus de Nazareth. J’avais entendu dire aussi que les camps de concentration avaient d’abord accueilli des milliers d’Allemands ; que d’autres, des savants exilés en Amérique, avaient été pour beaucoup dans la victoire des Alliés. Je ne savais pas encore que d’héroïques chercheurs avaient volontairement saboté les progrès militaires de leur patrie.
J’ai grandi et lu, beaucoup lu. J’ai compris que nos livres d’Histoire, les récits de nos proches véhiculent des monceaux d’informations dénaturées, mutilées. Nos ancêtres les Gaulois n’étaient pas des barbares ; l’homme ne descend pas du singe.
A l’heure où l’on bâtit l’Europe, cette grisante Utopie, il m’a paru utile de m’interroger sur cette puissante Allemagne réunifiée. Pour imaginer où elle va, sans doute faut-il chercher d’où elle vient, explorer les événements antérieurs à la domination du nazisme, cet odieux phénomène qui l’a trop définie à nos yeux.
Et idem pour les Juifs, quand Israël accapare l’attention des médias, suscite l’inquiétude aux quatre coins du monde.
Combattre les amalgames, la désinformation. Restituer un peu de leur vérité à deux grands piliers de la culture universelle.
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La Glace éternelle et la Terre creuse, la lettre aux savants, les Tribus perdues et les Anges de Mons… Quelle imagination, cet auteur ! Eh bien, non. Ces éléments sont empruntés à l’histoire du temps, à ses fantasmes, ses dérives. Comme Charles Fort, la Vehme ou Consul, la véritable Organisation C. Et ce ne sont pas des éléments insignifiants : les racines du nazisme plongent au cœur des sociétés et des savoirs ésotériques.
Hitler, né à Braunau-sur-Inn, une pépinière de médiums, se croyait possédé. On a parlé de l’influence de Rudolf Hess dans la rédaction de Mein Kampf, mais sait-on assez que ce dernier était l’assistant d’un magicien ? Que celui-ci fut peut-être le gourou du futur Führer ? Ou était-ce Eckardt, un autre allumé ? Il existe une histoire souterraine du nazisme où l’on s’enthousiasme pour l’Atlantide, Thulé et Schamballah. Hitler a vécu entouré de voyants, d’occultistes ; il a rallié la confrérie secrète des Rosenberg et ses mythes, organisé des initiations mystérieuses dans les Burgs, fondé l’Ordre Noir ou l’Ahnenerbe. La création d’une race nouvelle, d’un Surhomme dépassait-elle le cadre du nationalisme pour revêtir les ambitions magiques de l’alchimie ? Fut-il question d’un homme-dieu capable de changer la vie sur Terre, d’imposer sa loi au Cosmos ?
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Aux lecteurs curieux d’approfondir les informations glanées tout au long du roman, je recommande deux livres aussi différents que passionnants : Juifs et Allemands de Philippe Simonnot et Le Matin des magiciens de Louis Pauwels et Jacques Bergier. Deux guides, deux inspirations pour le présent ouvrage.
Sur les traces de Valentin en Allemagne…





